Il se leva légèrement et, assis, il regarda à droite puis à gauche, mais il ne trouva rien. Il avait du rêver, après tout ne rêvassait-il pas ? Rien ne lui prouvait que finalement sa vie ne fût pas qu'un cauchemar infiniment grisant, ravissant et étonnant. Qui harmonise, avec une perversité sans nom, son bonheur et son malheur. Il regarda la surface de l'eau avec un air perdu puis, par hasard, il entre vit une sorte d'ombre au fond de se lac mystérieux, ce qui le sortie, avec une célérité étonnante, de son état anesthésié. De cette ombre nébuleuse naquit une jeune fille nue. Cette beauté resplendissante et les gerbes d'eau se mariaient avec tant de légèreté, tant de désinvolture que cette mascarade profanatrice s'imposait en tant qu'une sorte de spectacle. Si pur, si divin que toute la perversité qu'on aurait pus trouver dans sa nudité, semblait inexistante comme une peinture, une chanson, une naissance. Aussi simple que complexe. Le regard ahurie de Val' semblait être un parjure, comme si cette allégorie de la beauté était moins ... exquis par la seule présence de Njall. Un cadeau injustifié, un souvenir fantaisiste. Il avait beaucoup de chance de se trouver en ce lieu, en cet instant.
Malheureusement tout à une fin, même cette féerie enivrante. Elle essaya de cachais certaine ligne de son corps en les plongeons dans l'eau. Son visage raffiné pris la couleur de la passion, elle rougissait sûrement à cause de son exhibition. Bizarrement la voir rougir rajoutait un peu plus de charme à l'ostension passé, c'était donc parfois vrais, le temps à tendance d'embellir le passé ou au contraire lui donner un coté tragique. La jeune demoiselle prit la parole et c'est d'un ton gêné quelle lui dit c'est mots:
-Euh ... Bonjour.
*Naturel*
Valentin pris une mine d'enfant rêveur, il tomba sur le coté laissant ses cheveux courir sur son visage, visage qui n'était en faite qu'un vulgaire masque trahie par ses yeux bleu. Une lueur se dégageait de ses fameuses prunelles bleuté, un éclat séduit, troublé et émerveillé. Un brasillement quasi pernicieux, presque comblé. Il sourit à la jeune nageuse avec tendresse, c'était presque un remercîment. Il répondit langoureusement la voix enjouée, douce et mielleuse.
-bonjour jeune demoiselle aux traits délicats, je dois t'avouer que je tombe de haut. Je pensais avec naïveté que les sirènes ne charmaient leurs victimes qu'avec leur chant, mais j'admets que cette méthode ensorcelante est bien plus fulgurante. Tu devrais t'habillé, tu rompra se tableau aussi captivant qu'adorable, mais au moins tu sera surement moins gêné, non ?